Le Groupement de Défense des Intérêts des Propriétaires de Résidences Secondaires (GDIPRS)appelle ses membres, sympathisants et l’ensemble des propriétaires concernés à refuser la réforme fiscale soumise au vote populaire le 28 septembre 2025. Sous couvert de simplification, le projet prévoit de supprimer la valeur locative et de permettre aux cantons d’introduire un nouvel impôt immobilier spécifique sur les résidences secondaires.
Après analyse approfondie, le GDIPRS estime que ce projet est injuste, incohérent et dangereux pour les propriétaires comme pour l’économie locale.
Un projet qui accroît les inégalités et les charges fiscales
Un risque majeur pour l’entretien du patrimoine et l’économie locale
Or, si la valeur locative disparaît, ces déductions risquent fortement d’être supprimées, sauf si les cantons créent de nouvelles mesures compensatoires — ce qui n’est pas prévu actuellement.Conséquences directes :Moins d’incitations pour les propriétaires à entretenir ou rénover leurs biens.Risque de dégradation progressive du parc immobilier des résidences secondaires.Impact économique négatif sur les artisans, PME et entreprises locales, notamment dans les régions touristiques de montagne.
Une atteinte aux droits démocratiques des propriétaires
La position du GDIPRS : voter NON
- ❌ fragilise l’équité fiscale entre les cantons,
- ❌ augmente le risque de surimposition,
- ❌ décourage l’entretien du patrimoine bâti,
- ❌ pénalise les économies locales dépendantes des résidences secondaires,
- ❌ et affaiblit encore les droits démocratiques des propriétaires.
Contact presse
Mathieu Janin (Président)

